108 km
30°C de moyenne – Très ensoleillé
Vitesse Moyenne: 23.9km/h
A toujours partir dans le même sens, on se lasse… Une fois n’est pas coutume au lieu de nous échapper vers le Nord comme nous en avons l’habitude, nous avons choisi de partir en plein Vexin.
Ah!!! Le Vexin… Ses plaines et ses champs de blé à perte de vue… C’est beau… C’est beau mais c’est casse-pattes… surtout si le vent est de face… Mais voyons donc le parcours.
Belle journée ensoleillée, le départ a lieu vers 11h30, la météo annonce 30°C. Crème solaire obligatoire.
Le parcours fait 108km avec quelques petites côtes sur les soixante premiers kilomètres. Nous savons que ce sera dur à cause de la chaleur mais nous sommes motivés… en vue, une petite cyclo au mois d’octobre à Meudon dans la Vallée de Chevreuse, mais ne nous égarons pas, ce sera l’objet d’un autre article.
Le départ se fait à bonne allure en tournant bien les jambes, chose différente aujourd’hui, je vais me calquer sur la cadence de pédalage et non pas sur la vitesse instantanée pour commencer à travail la régularité grâce à mon nouveau joujou couplé à mon Edge 800.
Après avoir serpenté dans le Val d’Oise et les Yvelines, nous attaquons la première côte à environ vingt kilomètres, au niveau de Vauréal puis on enchaine sur celle de Courdimanche–Sagy. Alors, oui, ce ne sont ni les Alpes ni les Pyrénées mais ça monte un poil quand même.
La suite du parcours est plus plate et plus roulante entre Sagy et Vétheuil où une nouvelle petite difficulté s’annonce mais se négocie bien.
Vétheuil étant le point d’inflexion du parcours, nous entamons alors le retour au point de départ, à Saint-Prix. Cette partie de parcours est déjà connue et a été pratiquée plusieurs fois. Après avoir pris vent de face durant les cinquante premiers kilomètres, nous soufflons un peu car nous l’avons maintenant dans le dos.
Les routes ne sont pas chargées d’automobilistes en ces périodes de vacances et nous en profitons donc tranquillement.
Le soleil fort présent nous oblige à nous arrêter à Génicourt près d’une fontaine pour s’humidifier la tête, les sous-casques et pour remplir les bidons.
Le parcours se termine avec la côte qui mène à la gare de Méry-sur-Oise, dernière difficulté du parcours qui, à mon sens, est celle qui s’est montée le plus facilement malgré les 100 bornes dans les jambes.
Vous trouverez joint à l’article le tracé et la courbe altimétrique de ce parcours. Pour ceux qui le souhaitent, je vous donnerai le lien vers le tracé Openrunner.
Laisser un commentaire